Vous n'êtes pas sans savoir que le mot Web en anglais veut dire "toile d'araignée".
Et justement, il y a quelques africaines qui se sont trouvées un rôle tout "naturel" en se plaçant au centre de la toile et en attendant le "pigeon", ou plutôt "l'insecte" ou plutôt le blanc, qu'elles vont pouvoir sucer et rançonner.
Le principe est le suivant: d'une manière ou d'une autre, elles se procurent une liaison semi-permanente sur le net: quand on sait les tarifs prohibitifs d'une telle liaison en Afrique, on imagine sans peine qu'il va falloir la rentabiliser. En effet, le recours au cyber (du fait de son prix et de ses contraintes) ne permet pas la présence quasi permanente que nécessite le "travail" de l'araignée. Pour résoudre ce problème, certaines utilisent la connection dont elles disposent sur leur lieu de "travail" (vu le temps qu'elles passent en ligne, elles doivent pas beaucoup travailler).
Ensuite, il faut trouver les poires, les âmes soeurs, (puisque c'est bien là le prétexte officiel): elles ciblent des hommes d'un certain age (beaucoup plus vieux qu'elles), des hommes qui ont besoin d'être rassurés, consolés de vieillir ou qui en ont marre d'être frustrés par leurs correligionnaires blanches (car si la femme noire est, -en moyenne - , sous-valorisée, je crains que la femme blanche ne soit ,- en moyenne-, survalorisée et sur-satisfaite d'elle-même). Et elles l'assurent, comme Marina, de leur amour éternel. Il est de bon ton aussi, pour inspirer confiance de donner dans la religion, cet accessoire indispensable en tout temps et en tout lieu du mensonge et de la manipulation.
Si la victime potentielle n'est pas sensible à l'argument amoureux (au sens large du terme, on peut en effet rapidement tomber dans la pornographie...), c'est donc plutôt l'argument religieux qui va être employé. Dans ce dernier cas, on commence par essayer de créer des cercles d'amis sur le net (sur le modèle des sectes aux USA ), et ensuite, dynamique de groupe aidant, à l'aide de méthodes de culpabilisation, on commence à sucer... Si la victime résiste, on emploie des demi-menaces: on lui explique qu'elle va attirer le malheur sur sa tête (et sur celle de ses proches si elle résiste: mais cet argument typiquement africain n'a qu'une d'efficacité moyene sur les mentalités blanches; par contre, la culpabilisation marche bien. Et on demande à la victime de l'argent, des dons (pour les malheureux, les enfants abandonnés d'Afrique, les malades du SIDA ou d'autre chose, la vieille mère qui est dans le coma, etc... on lui demande d'envoyer des bijoux, des dons en nature, etc... Quant à ce que cet argent, ces dons, deviennent vraiment, c'est une autre affaire!
Je n'aurais aucun mal à vous fournir ici une liste assez longues de ces araignées, car je fais de l'entomologie malgré moi depuis un certain temps... J'ajouterai peut être ici une telle liste de noms un jour. Avis aux amatrices...
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